Le rythme universitaire est totalement différent de celui connu au lycée. Les règles sont généralement plus souples et certaines matières plus allégées. N’empêche que l’évaluation reste obligatoire pour chaque cours suivi. Alors quelle forme d’examens à l’université au Congo ? Partiel ou contrôle continu ?
Au Congo, le système d’enseignement universitaire reste le même dans tous les établissements supérieurs. Bien que le procédé diffère des fois d’une matière à une autre ou d’un établissement à un autre, le résultat attendu reste le même. Cela revient à dire que valider un semestre renvoie à réussir dans toutes les matières et ce tant lors des contrôles continus que lors des examens finaux.
Le contrôle continu permet aux professeurs et en même temps aux étudiants de vérifier leurs acquis et en cas de lacunes, de trouver un moyen de les combler. Il permet donc aux étudiants de s’améliorer tout en connaissant leur limite. Et il peut prendre différentes formes comme un devoir à faire chez soi à rendre dans un temps bien précis, un devoir de groupe que l’on rend souvent sous forme d’exposé ou simplement un devoir à faire sous la surveillance d’un professeur.
Peu importe la forme qu’il peut prendre, la note du contrôle continu compte autant que celle du partiel afin de valider un semestre puisque les deux notes sont additionnées puis divisées par deux pour obtenir ainsi la note finale sur une matière tout en tenant compte de son coefficient. En effet il existe des matières avec des coefficients plus élevés que d’autres.
En ce qui concerne les mentions, on retrouve les mêmes à savoir :
- 10/20 : moyen
- Entre 10/20 et 12/20 : passable
- Entre 12/20 et 14/20 : assez-bien
- Entre 14/20 et 16/20 : bien
- Entre 16/20 et 18/20 : très bien
- Au-delà de 18/20 : excellent.
Aux nouveaux bacheliers, vous êtes prévenus des d’examens à l’université au Congo Brazzaville.